Exceptionnellement les inscriptions pour le meeting #02 ROX auront lieu via ce formulaire:
https://forms.office.com/e/VtqCQjp7Z4
Horaire : https://acdampicourt.be/uploads/2024/11/20250118-Rox02-Horaire.pdf
Exceptionnellement les inscriptions pour le meeting #02 ROX auront lieu via ce formulaire:
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Horaire : https://acdampicourt.be/uploads/2024/11/20250118-Rox02-Horaire.pdf
Le saviez-vous ? Et il ne s’agit pas d’une erreur mais vous courez dans tous les stades sur une piste longue de 398,12 mètres. Tandis que la longueur pratique d’une piste de 400 mètres est un héritage de la Grèce antique.
La piste répond, comme tout sport olympique qui se respecte, à un héritage de la Grèce antique. À l’origine, dans les stades antiques, les courses se déroulaient sur une piste mesurant 192 mètres. L’explication ? La mesure était basée sur 600 pieds d’Hercule de 32 cm (pointure environ de 50) qui correspondait à 192 mètres. La distance de 400 m s’inspire donc de la Grèce antique lorsque l’on courait un double stade comme épreuve de course, soit 384,54 m.
Cette distance est restée la référence jusqu’à ce que les Anglais, au XIXe siècle, imaginent une course longue d’un quart de mile, équivalant à 402 mètres. Les 402 mètres deviendront par la suite 400 mètres seulement à la fin des années 1960, lors de l’uniformisation du système métrique.
Cependant, le périmètre exact de la piste standard à la corde est de 398,12 mètres. En effet, la distance de 400 mètres est mesurée à 30 cm à l’intérieur du couloir no 1, ensuite à 20 cm à l’intérieur du couloir pour les suivants. Le périmètre exact de la piste standard à la corde est de 398,12 mètres.
Les couloirs
Tous les couloirs ne font pas la même distance. Le couloir numéro 1, à l’intérieur, étant le plus court avec 400 m tandis que le couloir numéro 8, à l’extérieur, est le plus long avec 453,03 m.
Distance exacte des couloirs
• couloir 1 : 400 m (mesuré 30 cm à l’intérieur du couloir)
• couloir 2 : 407,04 m (mesuré 20 cm à l’intérieur du couloir)
• couloir 3 : 414,70 m
• couloir 4 : 422,37 m
• couloir 5 : 430,03 m
• couloir 6 : 437,70 m
• couloir 7 : 445,36 m
• couloir 8 : 453,03 m
Dans la composition de la piste, la partie droite compte 80 m, la partie courbe (virage) fait 120 m. Au cordeau, la longueur est de 84,39 mètres et le rayon de courbure de 36,50 mètres.
Un couloir mesure exactement 1 m 22 de large.
Le sens de la course est depuis 1913 dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (le cœur supporterait mieux la course dans ce sens).
Pistes indoor moins rapides
Les virages des pistes indoor sont plus serrés, ce qui a tendance à modifier la foulée et à rendre la course en salle plus difficile. La structure des courses est aussi différente. Les pistes de 200 mètres comportent deux fois plus de virages qu’une piste de 400 mètres. Pour ces raisons les performances réalisées sont habituellement plus faibles en salle qu’à l’extérieur.
Certaines études affirment, pour les courses en salle – piste de 200 mètres -, qu’un athlète met une seconde de plus par tranche de 500 mètres comparé à une course sur une piste de 400 mètres, à conditions comparables (vent, température…). Pour un 1500 mètres couru en salle, théoriquement, votre chrono sera inférieur de 3 secondes sur une piste extérieure de 400 mètres.
Tout grand merci pour ce cross exceptionnel :
477 participants, plus de 500 spectateurs et de belles courses.
Merci aux bénévoles, officiels et parents qui ont rendu ceci possible.
Merci à tous les athlètes pour leur esprit sportif et la bonne humeur générale. Merci au PHAR et à TO3G pour leur participation massive.
Vous trouverez les résultats ici <Cross et Indoor 2024 -2025 – L’Athletic Club Dampicourt>. Merci Olivier.
Prochain cross le 01 décembre
à Athus – Joli Bois [ULA].
Premier Cross Hivernal
Le samedi 09 novembre 2024, à Bellefontaine, aura lieu le premier cross de la saison hivernale. Pour une bonne organisation, nous vous demandons de vous préinscrire : https://forms.office.com/e/PPBaHRrB8g
Préparer vos basquettes !
Les changements de catégorie ne se feront plus au 1er novembre. La saison de cross et indoor s’étaleront sur deux périodes bien distinctes.
Dorénavant, les athlètes resteront dans leur catégorie jusqu’à la fin de l’année civile au grand Duché de Luxembourg. La FLA souhaite se conformer aux instructions de World Atletics qui aimerait harmoniser le changement de catégorie au 1er janvier.
Conséquence, un athlètes qui change de catégorie le 1er novembre en Belgique, restera deux mois supplémentaires dans son ancienne catégorie, jusqu’au 31 décembre, pour toutes les compétitions disputées sur le sol luxembourgeois.
Autre changement, la saison d’hiver sera scindée en deux parties. D’abord celle des cross , ensuite l’indoor. La saison des cross débutera un mois et demi plus tôt que d’habitude avec une première course dès octobre ( le 5 à Belvaux) et se clôturera mi décembre. La période de l’indoor prendra le relais avec un premier rendez vous un peu plus tôt que les autres années, le 14 décembre et se terminera courant mars.
Bonjour à nos affiliés et licenciés
Lors de la saison 2023-2024, vous ou votre enfant étiez affilié à l’Athlétic Club Dampicourt. Cette affiliation reste valable jusqu’au 31/10/2024.
À partir de cette année, la LBFA a décidé de confier la gestion des affiliés à la plateforme Twizzit.
Pour renouveler votre affiliation ou celle de votre enfant, il vous faut remplir différentes étapes :
! Le versement de la cotisation servira de preuve de votre volonté de demander une licence pour la saison 2024-2025. |
! de bien vérifier que cet e-mail ne se trouve pas dans vos spams |
Vous recevrez un mail provenant de la plateforme vous invitant à confirmer par signature votre demande de ré-affiliation.
Vous pouvez également suivre l’évolution de votre dossier en téléchargeant l’application Twizzit comme indiqué sur l’exemple ci-dessous
Informations Complémentaires |
Certains(es) Mutuelles, communes, CPAS, province accordent un remboursement partiel de cotisation lors de l’affiliation à un cercle sportif. Il peut être accordé chaque année. Le formulaire est à demander à la Mutuelle ou auprès de l’organisme concerné et est à remettre au secrétaire du club.
Les équipements du club dont le maillot qui doit être porté lors des compétitions sont mis en vente au magasin “123 podium” Val d’Away à 6760 Virton. (Prière de vous munir d’argent liquide)
L’affiliation de l’athlète au club implique son adhésion ou celle de ses parents au ROI du club www.acdampicourt.be et son accord ou celui de son représentant légal sur la prise de photos et vidéos lors des événements organisés par le club, ainsi que l’exploitation de l’image de l’athlète ou dans le cadre de la promotion du club et de ses activités, notamment sur le site internet, la page et le groupe Facebook, l’Acdiste ,la presse écrite et la télévision sans contrepartie financière et pour une durée indéterminée.
Toute information sportive peut être demandée auprès :
Annie Gilalrdin
3 rue Baillet Latour
6761 Latour (Virton)
Tél 063/579664
E-mail : Annie.Gillardin@acdampicourt.be
Le site www.acdampicourt.be et le site www.beathletics.be vous donne les informations utiles : horaire des entraînements…dates et résultats des compétitions….
Comme le bon vin, ils s’améliorent. 2024 a encore été une bonne cuvée pour nos ainés.
A Göteborg, Victor Kiessel, dans une seconde jeunesse, a couru quatre distances de fonds différentes en 10 jours sans se classer une seule fois au-delà de la quatrième place. Mais surtout avec deux médailles d’or accrochées au cou, sur le 5000 m et sur le semi-marathon avec le gros chrono… de 1 h 26 min 44. Bluffant à 70 ans. Sur le 6 km cross et le 10 km sur route, il s’est emparé de la quatrième place. « Frustrant… », a déclaré Victor jamais rassasié. Même Ingebrigsten l’envie. Inusable Viktor…
Belle surprise et qui a… surpris même son auteur, Thomas Robert, 41 ans, fraichement revenu à l’ACD et à la compétition, après une petite pause de quelques 20 années, a décroché le bronze à la perche dans la catégorie M40 (40 – 45 ans) en franchissant 4 m. Il n’est jamais trop tard…
Les deux « Géraldine » (une avec accent et une sans accent – Geraldine -) ont aussi performé…
Geraldine Finegan (W55) termine avec deux médailles de bronze, dans l’heptathlon et à la perche. Géraldine Davin (W35) termine septième au lancement du marteau 4 kg et sixième au marteau lourd (9,8 kg), et aussi sixième au pentathlon des lancers (dont une quatrième place au javelot). A noter encore la huitième place de Geraldine Finegan sur le 300 m haies.
Les ACDistes ont multiplié les places au pied du podium en écopant de quatrièmes places : Jean-Paul Saussus (M60) en décathlon et Viktor Kiesel à deux reprises (6 km cross et 10 km route).
Et autre record et particularité, les cinq athlètes présents de l’ACD représentaient quatre nationalités différentes : le Luxembourg avec Victor Kiessel et Géraldine Davin, l’Irlande avec Geraldine Finegan, la France avec Jean-Paul Saussus et pour la Belgique notre revenant, Thomas Robert…
Et avant de terminer quelques secrets, à 71 ans en septembre, quelques secrets sur la forme de Victor Kiessel, le double champion du monde M70 : « je ne fais rien de spécial au point de vue alimentaire, même avant une compétition. Je mange de tout, avec modération et bon sens, ni alcool, ni beurre, ni sucre raffiné, ni mayonnaise et autres sauces, j’essaie de ne pas consommer d’aliments industriels préparés ni de friandises. En général rien en dehors des repas. Et je ne mange plus 3-4 heures, voire un peu plus avant la course. Par exemple en hiver pour les cross, je déjeune normalement le matin et ensuite plus rien jusqu’au soir. Par semaine je cours en moyenne 35 kilomètres. »
Enfin, anecdote, de Göteborg un athlète roumain, Vasile Harjoc, a rejoint Göteborg en vélo via un parcours de 5000 km avec un détour par Paris à l’occasion des J.O. Et son retour, se sera aussi en vélo, cette fois avec un passage par l’Espagne…Quand le sport ravit…
Il n’est jamais trop tard, affirme le dicton. L’arrivée tardive dans l’athlétisme et même un peu par hasard, n’a pas empêché Edith Graff de briller dans sa carrière. Multiple championne du monde en catégorie « Ainée », athlète européenne de l’année, l’ancienne athlète a mené de longues années une carrière internationale avec de nombreuses médailles d’or à la clé. C’est principalement dans les épreuves multiples qu’Edith a excellé. Aujourd’hui, elle passe son temps à la marche, à la peinture et au …tennis de table.
Comment êtes-vous arrivé à pratiquer l’athlétisme ?
Très tard, à 26 ans. Mon mari, Pierre Joannes, en désespoir de trouver une sprinteuse pour un intercercle, n’a eu qu’une dernière solution, celle de me solliciter. Je me suis alors transformée une après-midi en sprinteuse. J’ai couru un 100 mètres qui m’a paru interminable et croyez moi, j’ai même eu énormément de mal à le terminer. Mais ce sprint allait devenir la porte d’entrée à une très longue vie d’athlète. Avant ce100 mètres, mes rêves étaient plus dans la danse classique.
Vous avez été entraineur de Julien Watrin ?
Oui, c’est une fierté. Mon mari l’avait déjà remarqué en minimes. Il était bon dans tout. Je dirigeais les scolaires et je me suis très vite aperçu qu’il était exceptionnel et excellait dans toutes les disciplines. Il a réalisé à cette époque quelques belles performances dans les concours d’épreuves multiples. Ce qui m’a principalement frappé chez Julien, c’est son côté humain, sa gestion parfaite de ses émotions.
Le meilleur souvenir de votre carrière ?
Le premier qui me vient à l’esprit, peut-être parce c’est le plus proche, c’est d’avoir réalisé le record du monde en M65 du saut en hauteur (1 m 41) dans un concours d’épreuves multiples à Porto-Rico. (Edith était aussi recordwoman du monde M65 du 80 m haies en 2007 en 14“24).
Qu’est-ce qui vous a le plus marqué à l’ACD ?
Bien sûr, la divine carrière de Julien est un épisode heureux. Mais Daniel Thiry, l’ancien président décédé récemment, m’a aussi marqué. Il a été un homme important au club. Une personne extraordinaire, constructeur et rassembleur. Il a voué une vénération, une belle ambition, une affection pour le club. Et sans tendresse, peut-on avoir de l’ambition ?
Quels sont les conseils que vous donneriez aux jeunes athlètes ?
Un élément important, c’est vivre l’entrainement dans une ambiance positive, avec du plaisir. Quand on est bien dans un groupe, en général, les performances suivent. L’entraineur doit y veiller. Ensuite, l’enfant doit bien être entouré. Ici les parents sont importants pour positiver, susciter l’envie mais sans excès. Plus tard, s’il veut briller, l’athlète ne doit pas craindre les sacrifices.
Le sacrifice n’est pas une perte mais un investissement pour l’athlète. L’addition de ces multiples détails va contribuer à la performance. Avoir du talent, c’est loin d’être suffisant…
Dans mes années, j’en ai rencontré qui avaient un talent fou mais qui ont disparu. La raison : un manque de caractère. Sans ambition, le talent n’existe pas.
Et aujourd’hui ?
J’ai stoppé l’athlétisme à 67 ans. J’étais à court de motivation. Aujourd’hui, je partage mon temps libre avec des marches (4 kilomètres) presque quotidiennes, que je termine par un traditionnel match de ping-pong face à Betty Chalon, ma partenaire. Puis j’ai trouvé dans la peinture, une atmosphère de quiétude. J’ai toujours peint, un peu plus aujourd’hui.
Voici l’horaire définitif pour la SpeedNight.
L’ACD a terminé à une belle quatrième place avec 173 points, 43 points de mieux que le 7e classé et premier descendant (Deinze), et 28 points de moins que le vainqueur (HAC).
Trente-six épreuves étaient programmées, 17 destinées aux hommes et aux femmes (soit un total de 34), une 35e réservée aux hommes (3000 m steeple), et une 36e mixte, le relais 4 X 400.
Le vainqueur de chaque épreuve empochait 9 points pour son club, le deuxième 7 points, le troisième 6 points, etc….jusqu’au dernier et huitième, 1 point. En moyenne, Dampicourt a glané environ et en moyenne 9,61 points par discipline/concours femmes et hommes cumulés (2 épreuves), ou simplement 4,8 par épreuve prise individuellement (H ou F).
Exemple, sur le 100 mètres avec une deuxième place chez les hommes (7 points) et une troisième chez les femmes (6 points), Dampicourt a gagné un total de 13 points sur cette épreuve (moyenne du club de 9,8 points)..
Le 400 m brille
Parmi les épreuves (H+F) les plus rémunératrices, le 400 m brille avec 16 points, devant le 3000 m, 14, le 100 m, 13. On trouve encore la perche avec 12 points et avec 10 points quatre épreuves : la longueur, le 1500 m, le 4 X 100 m et le 800 m.
Dans les autres collectes de points, le triple saut pointe avec trois points, le poids avec 5, le disque six, et avec 7 points, deux épreuves, le 200 m et le « sprint haies » (100 h et 110 h).
A noter encore, les huit points du 400 m h, du javelot et du 5000m. Enfin, la hauteur a rapporté neuf points.
Les max ou victoires
Deux épreuves, celles qui n’étaient pas ‘disputées’ en double, c’est à dire H+F, le 3000 m steeple (H) et le relais 4 X 400 mètres couru mixte (H+F), ont été prolifiques, avec neuf points chacune et la victoire. Autres victoires, sur le 3000 m H, 400 m H, saut en longueur H.
Classement par famille
1° les courses ‘sprint’ (100/200/400 m)………………………… .12 points de moyenne
2° le fond/demi-fond (800/1500/3000/5000m)……………; 10,5 points 3° les courses ‘haies’ (100h, 110h, 400h,3000 steeple)……9,6 points
4° les sauts (longueur, triple saut, hauteur, perche)………..8,5 points
5° les lancers (javelot, poids, disque)……………………………….. 6,3 points
5° bis les relais (4X100, 4X400 mixte)……………………………… 6,3 points
Meilleur dans les relais
Au total des deux courses relais (4X100 et 4X400), Dampicourt est champion avec 14 points devant le Moha, 11 points et 10 à Deinze.
Cinq victoires
Il est à noter encore que Dampicourt a cumulé cinq victoires (H ou F), tout comme le vainqueur HAC. Mais c’est l’ASVO qui décroche le pompon avec huit victoires mais une sixième place seulement au classement final. Le Moha, dernier, et le Roba, cinquième, en ont décroché qu’une seule.
HAC, une fois sur trois
Dans les 36 épreuves, l’ACD a été onze fois devant le HAC, le vainqueur final, soit pratiquement une fois sur trois. Et a donc été battu 25 fois dont à six reprises d’une place.